RASSEMBLEMENT REGIONAL
A ESCRAGNOLLES

11-14 juillet

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Participants :

ACV: Alain, Marie, Jean-Claude, Patricia, Jérome, Mélanie

Autres varois: Gilles, Mylène, Maurice, David, Jacques, Jean-Marc, Cathy

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Ce rassemblement régional a été organisé par le club GARAGALH d'Escragnolles pour ce long week-end du 14 juillet.

Nous arrivons samedi en milieu d'après-midi. A coté du parking se trouvent les exposants; en fait c'est plutôt l'exposant car il n'y a que "Croque-Montagne". Nous en profitons pour faire quelques emplettes. De plus, les 2 nouvelles frontales Suisses Scurion "K" sont présentées et peuvent être essayées (900 lumens lumière chaude ou 1200 lumens lumière froide). Ayant prévu de faire l'Air chaud le lendemain, je me jette sur l'occasion afin de faire la comparaison avec ma P7 (700 lumens).

Ensuite, inscription au  rassemblement, au repas et achat de tee-shirts. Il n'y a pas foule, mais il parait que pour le repas on sera 80.

Ensuite, nous demandons à nous inscrire pour l'air chaud le lendemain. Grosse déception, la cavité n'est pas équipée. Christian, l'organisateur, nous propose de nous fournir les cordes pour l'équiper !!!! Pour l'instant, nous ne sommes que 3, nous déclinons donc la proposition. Très déçu, je demande qu'elle est la cavité mystère : c'est le KKG. Cet aven, découvert il y a plus de 10 ans, a été jalousement gardé secret par son inventeur !!! Cet aven débouche dans l'aval de la rivière de l'air chaud.

Et bien c'est parfait, on va faire l'air chaud mais dans une partie que nous ne connaissons pas. Je demande ensuite les coordonnées GPS pour nous y rendre. Personne ne les a !!! Christian se propose de faire un pointage approximatif si j'ai une carte IGN. Et bien, il faut venir équipé à ce rassemblement !!! Il me fait le pointage sur mon GPS à 50m près me dit-il !!!

Maintenant, il faut planter la tente. Christian nous montre un vaste champ en contre-bas avec 1 WC chimique comme seul sanitaire. Nous tentons donc notre chance dans un camping situé à 3Km, mais malheureusement, il est fermé. Donc, retour dans le champ et nous nous installons près de Alain et Marie. Heureusement qu'il n'y avait pas une centaine de tentes car le terrain est tout en pente !!!

La soirée commence vers 19H30 avec les discours du maire, de Gilles Colin et Eric Madelaine, suivi de l'apéritif.

Sympatique soirée avec le repas de gala et les musiciens du groupe UNICUM.

Durant le repas, j'apprends par Audrey et Blondinet qu'ils vont aussi au KKG demain. D'après eux, l'entrée est introuvable. Ils vont donc suivre Dada qui connait à peu près le chemin. Mon pointage étant approximatif, on va donc suivre le groupe. Donc, rendez-vous à 8H30 demain matin.

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Dimanche : Aven KKG

8H35, nous sommes au rendez-vous. Direction St Vallier où nous rejoignons le reste du groupe. Nous sommes 13 maintenant.

L'accès se fait par la piste qui mène à l'air chaud. Vers la fin, Dada cherche un peu. Il n'est pas sûr de lui. Il continue sa recherche à pied. Au bout d'1/4h, il revient. C'est bon, c'est par là. Nous continuons en voiture et nous garons devant l'entrée.

Dada nous montre l'entrée, mais on ne voit rien. Elle est protégée par une plaque métallique recouverte de cailloux !!!! Et bien heureusement qu'on a suivi le groupe car mon pointage était faux de plus de 100m !!!!

On enlève les cailloux et on essaye de soulever la plaque. Damned, elle est fermée à clé !!!! Coup de fil à Christian. Il va essayerde trouver une clé chez lui pour nous l'apporter.

Pendant ce temps, Jérome entend des aboiements incessants. Il s'approche et découvrent 2 magnifiques chiots épagneul au fond d'une doline de 3 à 4m de profondeur. Nous allons les chercher, leur donnons à boire et à manger, puis appelons le propriétaire.

11H30, Chrisitian arrive avec une clé. Redamned, elle ne rentre pas dans la serrure. Coup de fil à l'inventeur, mais on tombe sur le répondeur. Les esprits commencent à s'échaufferetl'idée de faire péter la serrure traverse les esprits. Nous commençons à réfléchir à un plan "B".

Vers 12H, une moto arrive à grande vitesse. C'est l'inventeur qui arrive avec une clé. Ouf !!! Du coup, 3 personnes décident de partir pour ne pas trop ralentir le groupe.

Rapide repas et nous commençons la descente vers 12H30.

L'entrée, très confidentielle


Malgré l'étroitesse des lieux, la descente se fait assez facilement grace à un équipement complet : barreaux, échelle, ... Une vrai via souterrata !!


Passage d'un laminoir sec

Les hostilités commencent. Passage d'un laminoir très humide...

suivi d'une baignoire. Maintenant, c'est fait, on est trempé.

Enfin debout dans une zone concrétionnée


Nouveau laminoir, entre les concrétions



Jusqu'à maintenant, la descente s'est faite dans une succession d'étroitures entrecoupées de ressauts ou de petits puits.

Voici le plat de résistance. Le 1er des 2 puits de 38m. Là, au moins, il y a du volume !!!

Le dernierpuits de 8m. Je pensais être arrivé à la rivière. Mais j'avais oublié le dernier méandre. Et quel méandre. Ca commence par un passage très bas dans la boue, suivi d'un peu de marche dans la boue jusqu'à mi mollet et de nouveau à plat ventre dans la boue. Un vrai régal !!! Que du bonheur !!!

Désolé, pas de photos de ce sympatique passage. Je n'ai pas osé sortir l'appareil photo.

14H, enfin la rivière. Nous sommes 5. Les premiers sont partis dans l'aval (environ 3km de réseau)

Sur la topo en "plan" de l'air chaud, je pense que notre arrivée dans la rivière se situe au niveau du point rouge à la cote de -230m.

Pour notre part, nous partons dans l'amont en direction du S2 de l'air chaud (environ 600m à parcourir). Nous sommes rapidement rejoint par une partie de l'équipe revenant de l'aval.

Toute la progression se fait sur cette roche découpée en dentelle. C'est assez délicat et dangereux. D'ailleurs, j'ai failli me casser une jambe. Un bout de roche a cédé et m'a jambe s'est enfoncé dans une anfractuosité de la roche jusqu'au genoux puis j'ai basculé dans la rivière. Une belle frayeur, un bain et 2 grosses égratignures sur le tibia et la cuisse. La même mésaventure est arrivée à Jérome qui en a été quitte pour un bain !!!









En comparaison, 2 photos de la rivière de l'air chaud par l'entrée habituelle :
C'est la même rivière, mais les paysages sont assez différents.


Compte tenu de notre état, il y avait beaucoup de buée et l'objectif était souvent sale. Les photos sont donc assez moyennes. De plus, nous n'avons pas eu le temps de faire des photos en pause sur pied. Dommage, avec les 2 Scurions, ça aurait pu être super.

16H, nous sommes au Siphon. Il est temps de faire rapidement demi-tour si on ne veut pas sortir en pleine nuit. Nous ne sommes plus que 5 et faisons un retour rapide. Nous croisons encore 3 personnes qui arrivent de l'aval et vont jusqu'au siphon 2.

Au bout d'une heure, nous n'avons toujours pas trouvé le point de départ. Le doute commence à venir. Nous nous engageons dans des réseaux sans issue ou qui nous ramènent sur nos pas !!! Dur, dur. La fatigue commence à pointerson nez. Nous continuons la progression, mais au fur et à mesure que nous avançons, nous avons de moins en moins de souvenir de l'aller. Sommes-nous dans l'aval ou encore dans l'amont ?????

Pour éviter de nous perdre, nous faisons demi-tour afin de revenir au contact des 3 derniers.

Contact établi. Ouf !! L'équipe pense que la sortie est derrière nous. Nous faisons donc une nouvelle fois demi tour et comme la 1ère fois nous empruntons des galeries sans issue, etc ...

La fatigue se fait sentir et plus personne n'est sûr de rien. Les plus vaillants continuent à chercher pendant que nous nous restaurons un peu.

Cay est, la sortie est trouvée. 'Tarascon' vient nous chercher. Mais en nous accompagnant, il a des doutes, se trompe à nouveau, monte, descend, ... Quelle galère !!!

Ouf, voilà le méandre de sortie !!!! Il est 18H. Il nous a fallu 2H pour revenir du siphon !!!

Mélanie et moi sommes assez fatigués. La remontée s'annonce longue.

La rivière nous avait un peu nettoyée, mais il faut repasser ce méandre infâme. Nous attaquons les puits plein de boue. De plus, les cordes qui étaient toute neuves à l'aller sont maintenant pleines de boue.

Les bloqueurs glissent et le pantin est inutilisable. La corde ne coulisse pas dedans !!! Un vrai régal. De plus, les sorties de puits sont sont délicates et demandent de tirer sur les bras.

Au pied du P38, il y a une belle vasque remplie d'eau. J'en profite pour nettoyer mon matériel en attendant que le précédant ait terminé sa remontée. Dans les P38, il est plus satisfaisant pour l'esprit que les bloqueurs accrochent et que le pantin fonctionne !!

La remontée se fait lentement et les sorties de puits demandent toujours des efforts importants.

Ça y est, sommet du P10. Nous attaquons la zone étroite avec la voûte mouillante. Nos forces s'amenuisent et il nous tarde de sortir.

21H15, enfin dehors. 'Tarascon' qui fermait la marche sort à 21H30.

Belle explo.

TPST: 9H

Retour à la tente vers 23H pour un rapide repas et dodo.

Jean-Marc et Cathy nous ont rejoint.

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Lundi :

Alain, Marie, Jean-Marc et Cathy partent faire le canyon de la Siagne de la Pare.


Jérome, Mélanie, Patricia et moi rentrons à la maison.


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Sympatique petit rassemblement malgré une organisation un peu légère.

WEEK-END SPELEO DANS LE GARD
MEJANNES-LE-CLAP

22-24 mai

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Participants :
Jean-Claude, Patricia, Sandra, Jérome, Mélanie
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Initialement, nous devions nous rendre au rassemblement du CAF dans le Lot, mais dans l'impossibilité de pouvoir partir tôt le mercredi, nous avons renoncé. Et finalement, c'est mercredi soir, lors d'un repas avec Mélanie et Jérome que nous nous sommes décidés à passer ce long WE dans le Gard.

Départ jeudi en milieu de matiné, repas à Uzès et arrivé au camping de Méjannes le Clap en début d'après-midi. Le camp est installé rapidement et comme d'habitude avec tout le confort nécessaire. Nous sommes sur un emplacement double en sous-bois. Super compte tenu de la chaleur !!!



Mélanie avait repéré sur Internet les cascades du Sautadet à La Roque sur Cèze. Aller, c'est parti ...
Magnique ce site !!!


Au retour, nous décidons d'aller repérer l'entrée des cavités. On commence par le Pèbre. Le départ de la piste est très vite identifié, mais il y a une barrière. Comme elle n'est pas vérouillée, on passe. 2km plus loin, un mini bus avec plein d'autocolants spéléo est garé. Trop facile !!! De là, 2 pistes partent. Bien sûr on commence par la mauvaise !!! Par contre, par la 2ème piste, on trouve assez rapidement l'entrée. Ok.

On se dirige ensuite vers la Salamandre. Le début de l'accès routier est assez évident. Par contre, la zone d'arrêt l'est moins. On tatonne un peu, puis on finit par trouver une zone de parking correspondante aux explications. Effectivement, après une cinquantaine de mètres à pied, un panneau pédestre indique l'aven de la Salamandre à 400m. Impossible de le rater, près de l'entrée, il a des panneaux de danger. Et quand on voit l'entrée, on comprend pourquoi !!!

Bon, c'est pas tout, mais il est 21H. Il commence à faire faim !!! Retour au camping.


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Samedi : Aven des Pèbres

Participants: Jean-Claude, Patricia, (Sandra), Jérome et Mélanie

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Le réveil a été un peu laborieux. Du coup, on démarre l'explo vers 11H30. sandra tousse beaucoup, mais elle vient quand même avec nous.

Jérome se lance dans l'équipement. A 10m de l'entrée, 2 scellements. Il commence donc à équiper avec la 1ère corde indiquée sur la fiche d'équipement qui est celle pour le P30. En fait, il s'agit d'un boyau pentu, parfaitement poli et très glissant. Au bout d'une vingtaine de mètres, il arrive au sommet d'un grand tube incliné qui ressemble beaucoup plus au P30. Heu, si c'est ça, la corde risque d'être un peu courte. Du coup il remonte un peu pour me faire part de la situation. Je décide donc d'installer ma corde de secours en lieu et place et lui ramène l'autre corde. Jérome tatone un peu dans l'équipement. Cela a générer un peu d'attente, et Sandra ne se sent pas bien. Du coup Mélanie la racompagne à la surface.

Descente du P30

Le 1er fractio, plein vide, causa quelques soucis à Patricia. Le 2ème fractio n'est pas très évident non plus. Patricia dépense encore beaucoup d'énergie. Enfin, nous voilà en bas et la C48 arrive pile poil !!!

Suite à ce puits, il y a une escalade de 3m assez glissante, mais non indiquée sur la fiche d'équipement. On escalade donc en libre.


De suite derrière, un autre boyau descendant très glissant et un petit puits. Bon, ça doit être le R7 indiqué sur la topo. Jérome installe la C12 (C10 préconisée), mais après avoir installé l'amarrage en tête de puits, le noeud d'arrêt pendouille à 3m du sol. Heu !!!! Bon, et bien on va prendre la corde du ressaut suivant, une C17. Ok, ça passe.

Arrivée du R7. Ca commence à devenir joli.


Quelques passages bas suivent.


On débouche enfin dans la grande salle vers 13H30. Grandiose, on en prend plein la vue !!!!! Du coup, je mitraille la salle de photos. J'avais descendu 2 gros flash pour l'occasion. Mais même avec tout ce matériel, pas facile d'éclairer cette salle immense (70mx40mxH20m).






Finalement, je décide de faire un essai en pause 8 secondes, en balayant la salle avec ma frontale (une Scurion P7). Le résultat est impécable. Bon, ok, on arrête avec les flashs !!! La seule difficulté est d'éclairer la zone de façon régulière et de ne pas surexposer.




Pour ne pas en perdre une miette, on parcours cette salle dans tous ses recoins : escalade, desescalde, escalade, .... C'est tellement beau, qu'on en oubli la faim !!! Finalement, on mange vers 15H30 !!!!

Patricia commence à remonter. Pendant ce temps, Jérome emprunte la corde qui permet d'accéder au balcon et de poursuivre dans les réseaux supérieurs. La sortie est très sport et il va batailler une bonne dizaine de minutes en forçant comme un dingue. Du coup, Mélanie et moi restons tranquillement en bas. Jérome continue un peu en suivant la main courante. Mais à ses dire, c'est super sport. Il abandonne et revient.

Nous débutons la remontée et au sommet du R7, nous rejoignons Patricia qui n'a pas osée faire la désescalade toue seule. Aller, il reste le P30 et le boyau de sortie. Patricia force beaucoup dans ce puits incliné et sur les fractios. Au sommet elle est épuisée. Petite pause avant d'entammer le boyau dans lequel elle va laisser ses dernières forces !!! Il faut dire qu'il est hyper lisse et glissant et qu'il faut tout faire au bloqueur dans des positions pas très confortables !!!

18H30, enfin dehors. Sandra s'est fait une méga sieste dans le magnifique sous  bois.


TPST : 7H !!!


Arrivé au camping, nous sirotons une bonne bière glacée avant d'aller à la douche. Ensuite, nettoyage des cordes et un repas bien mérité.

Avant de se coucher, avec Jérome, on humiifie et on enkite la C70 pour le lendemain, puis on place tout le matos dans le coffre pour partir rapidement le lendemain matin.


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Dimanche : Aven de la  Salamandre

Participants: Jean-Claude, Jérome et Mélanie


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Patricia est fatigué et a mal au dos. Elle ne vient donc pas avec nous.

Départ 9H30. Pour ma part, j'ai tout juste eu le temps de déjeuner. Par contre Jérome et Mélanie ont un peu profité de la piscine avant !!!


10H, on est devant l'entrée.

On s'équipe et Jérome débute l'équipement de ce puits de 45m très impressionnant. Tout est broché, donc pas de soucis pour l'équipement.

Mélanie dans la 1ère moitié du puits


La salle est tellement énorme que les acétos ne permettent pas de distinguer les contours !!!! Prévoir un gros projecteur !!!

A environ 60m de nous, le puits débouchant au sommet de la salle

10H45, nous commençons à explorer cette salle gigantesque. Le sol est très glissant. Il faut faire très attention en se déplaçant. Il nous faudra près de 2H30 pour faire le tour de cette salle. Il faut dire aussi qu'on a fait énormément de photos !!! Suite à l'expérience de la veille, je ne me suis pas encombré des flashs et j'ai presque tout fait à la frontale.

Et voici le spectacle .....





Eh oui, je n'ai pas de casque; il sert d'éclairage pour la photo. De toute façon, si une colonne tombe du plafond à 30m, il ne me sera pas d'une grande utilité !!!

Vestiges d'une ancienne citée romaine ?


Malgré une inspection minutieuse, nous n'avons pas trouvé les passages permettant d'accéder aux autre petites salles!!! Tant pis, il est 13H, il faut qu'on remonte car il faut manger, ranger le camp et rentrer à la maison !!

Ca ne fait rien, on reviendra !!!


Enfin dehors, mais quelle chaleur !!!!


TPST : 3H

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Excellant week-end avec un temps magnifique et des températures caniculaires. Et le top, c'est que le matériel est nettoyé, prêt à être réintégrer.

WEEK-END SPELEO INTERCLUBS DANS L'HERAULT

8-10 mai

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Participant :
ACV: Jean-Claude, Patricia, Marcel, Catherine, Adrien, Jérome, Mélanie, Philippe, Sabine, Cyril, Olivier, Ghislaine, Noémie
BCT : Jean-Louis
SCT: André, Laure, Hervé, Pierre, Didier, Maryline, Sébastien 
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Menu du week-end

Apéritif
 la Grotte du Sergent

Plat de résitance
La Leicasse

Dessert
Le Mas Raynal

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Jeudi soir, Didier, Pierre, Sébastien, Jean-Claude, Patricia et Cyril se retrouvent au camping des sources à Soubès (près de Lodève). La propriétaire nous a réservé toute une zone du camping près de la rivière. Installation des tentes, puis d'une grande bâche pour s'abriter lors des repas.


Charmant camping ***. La propriétaire est vraiment très sympa


Moment de détente le vendredi soir


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Vendredi 8 mai : La grotte du Sergent




Nous avions rendez-vous vers 10H avec ceux qui partaient de Toulon le matin. Après quelques hésitations pour trouver la piste d'accès, nous nous retrouvons à 10H30. Tout le monde là; Parfait. Nous sommes 21 !!!

Pour la marche d'approche, certains préfèrent prendre leur équipement dans le sac, d'autres s'équipent aux véhicules. Du coup, nous ne partons pas tous en même temps. Le 1er groupe, mené par Laure,  trouve la cavité assez rapidement. Le 2ème groupe hésite à plusieurs carrefours, mais opte par hasard pour le bon chemin. Puis à 200m de l'entré, le groupe est rejoint par Hervé qui redescend chercher le reste des troupes. Quant au 3ème groupe, il se trompe dès le départ . Du coup, Hervé ne les trouvera pas !!! Finalement, ils nous retrouvent après avoir fait une belle randonnée !!!!

Pause casse-croûte, puis escalade pour accéder à l'entrée, une quinzaine de mètres au dessus de nous.




Le grand pilier

Magnifique lac au bouc de la galerie du réservoir


Sur le chemin du retour, nous voulons aller visiter l'autre partie de la cavité (réseau Nord). Mais dès le départ, il y a un passage acquatique. Plusieurs techniques sont employées :
Cyril et Olivier essayent de ne pas se mouiller et jouent aux accrobates - Belle démonstration !!!
D'autres passent dans l'eau
Et les derniers qui ne veulent pas se mouiller et ne sont pas croisé avec un chimpanzé abandonnent.
Au départ, le passage en oppo est assez facile

Mais au bout, ça se corse. Joli retournement et belle démonstration !!! Et en plus, ils ne sont même pas tombés dans l'eau !!!



Ghislaine, Noémie, Patricia, Sabine, Mélanie, Jérôme, Philippe et Jean-Claude tentent de rejoindre l'autre groupe sans se mouiller en passant par le shunt, un méandre assez étroit. Mais au bout de quelques dizaines de mètres, le méandre siphone !!! Demi-tour !!!

Fianlement, l'autre groupe après quelques passages bas et humides tombent également sur une zone siphonante !!! Domage, ils se sont mouillés pour rien. Décidément, cette année il y a de l'eau partout !!!


21 spéléos qui sortent de la cavité perchée à 15m du sol, les uns derrière les autres, ça ne vous rapelle pas un jeu sur PC ?  (Réponse : Les Lemmings !!!)


TPST : 2H environ

Belle cavité, bien concrétionnée et avec de grands volumes.

Pour l'entrée et l'accès au réservoir, l'utilisation d'une corde et des baudriers est conseillée.
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Samedi 9 mai : La Leicasse



18 candidats pour cette cavité. Il va falloir gérer finement !!

Le vendredi soir, la 1ère équipe est formée. Marcel, Cathy, Laure, Jean-Claude et Sébastien partiront à 8H pour équiper la cavité. Une demie heure plus tard, une 2ème équipe doit les rejoindre avec les vivres. Pour les autres, rien n'est défini.

Nous partons vers 8H15. Arrivé au lieu dit "Les Calles", nous empruntons la mauvaise piste. Demi tour au bout d'1km.

Nous voici enfin sur le plateau.

Jean-Claude, Laure et Sébastien partent les premiers. Nous repérons une 1ère entrée maçonnée, mais sans aucune indication. Nous poursuivons notre chemin et Sébastien repère une entrée marquée "La Leicasse"

D'après nos informations, il y a 2 entrées distantes de 50m. La 2ème permet de shunter un infamme boyau. Je démarre l'équipement et après le 1er puits, je me retrouve dans une petite salle, avec comme seule issue, un infamme boyau humide. J'informe la surface pour rechercher la 2ème éntrée, mais personne ne la trouve !!! Bon et bien il faut se faire une raison. Le ramping va durer une bonne 1/2 heure !!!! Une horreur.

L'entrée naturelle

Voilà enfin le puits salvateur. Encore quelques contorsions pour y descendre et voila une galerie où l'on tient debout. De suite, une escalade en libre particulièrement glissante. Une fois la corde installée, nous poursuivons et à notre grand désespoire, nos malheurs ne sont pas terminés. Certe, on est plus ou moins debout mais c'est toujours très étroit !!! Les petits puits et ressauts s'enchaînent.

 L'équipe ravitaillement nous a rejoint !!! Mais où sont Marcel et Cathy ? Ils ont fait demi-tour au début du boyau, Marcel ne se sentait pas bien !!! Nous apprenons également que Didier a fait demi tour au bout du boyau !!! Et 3 de moins !!!

Du coup en surface, les plans changent un peu car il faut emmener les 2 derniers kits d"équipement et finalement, personne ne fait trop attention au petits débutants qui se retrouvent à partir tout seul en dernier !!!


Il ne me reste plus qu'une corde de 20m. Je passe la tête dans l'étroiture d'accès au puits (et oui, encore une !!). Oups, ça résonne un max; on doit être au sommet du P100. Ma petite C20 va être un peu juste !!! Je laisse la suite à de l'équipement à Laure.

Les 37 premiers mètres du P100

Les premiers 35m se font contre paroi et on arrive sur une belle plate-forme. Par contre, pour le 2ème tronçon, on est dans un volume énorme et la descente se fait plein vide : impressionnant. Et pour finir, un petit pendule pour accéder à la plate-forme. Laure a eu quelques difficultés pour l'atteindre car il n'y a aucun point d'appui pour ammorcer le balancier. Les petits jeunes du club on également été surpris par cette difficulté qu'ils n'avaient encore jamais abordée.

Sur la plate-forme, nous découvrons cette magnifique reproduction d'un chateau, réalisé brique par brique !!!! Il semblerait que la remontée de ce puits ait générée un peu d'attente !!!



Arrivé sur cette plate-forme, avec Laure et Sébastien nous cherchons la suite. Au bout d'une dizaine de minutes, Séb trouve le passage. Nous descendons l'immense ébouli et allons visiter la galerie supérieure. Belle galerie grandiose et bien concrétionnée.

La galerie supérieure



Nous remontons ensuite l'éboulie à mi hauteur pour chercher le passage qui va nous permettre de continuer notre progression. Le reste de l'équipe est en train d'arriver. Nous faisons une petite pause casse-croûte en attendons les derniers.


DD veut faire le point pour savoir si tout le monde continue ou si certains veulent remonter.

 Sabine s'est pris un gros cailloux sur le bout du pied dès le puits d'entrée. Malgré une forte douleur, elle est quand même descendue mais décide d'arrêter ici. Philippe, Jérome et Mélanie décident de remonter ensembles.

Finalement, nous nous engageons à 11 dans les entrailles de l'ébouli . Et les étroitures recommencent. On se croirait vraiment dans le Var !!! La progression est assez lente. L'équipement est de moins en moins évident et les amarrages ne sont pas franchement en bont état !!!


Nous arrivons sur une étroiture sévère. Sébastien ne parvient pas à la franchire. Il est obligé de faire demi-tour, dégoûté !!! Il rejoint rapidement les autres afin de ne pas remonter seul. Nous ne sommes plus que 10.

Une zone un peu plus large au milieu des étroitures !!! Pendant que Laure équipe, nous entendons un gros bruit sourd, comme une explosion. Nous sommes un peu inquiet !!! Puis, nous finissons par nous dire que quelqu'un a dû laisser tomber un kit dans l'eau. (Nous apprendrons plus tard que le bas de la dudule d'Oliver a cassé et est tombé dans l'eau, ce qui a généré un grosse quantité d'acétylène qui a explosé au contact des flammes !!!)

L'accès au dernier P35 est laborieux et l'accès final un peu chaud. Il faut passer en oppo avec 15 à 20m de vide sous les pieds et la corde préconisée pour l'équipement du dernier puits ne permet pas de faire une main courante d'une telle longueure !!! On fera donc sans !!!

La 1ère partie du P35, jusqu'au fractio est très étroite (encore et toujours !!!)

Nous voici enfin au fond. Quelques jolis pavés polis se trouvent là !!!!
Il y a du volume, mais on n'est pas encore dans la grande galerie. Il faut encore parcourir un etroit méandre d'une vingtaine de mètres !!!

16H : Ouf, on y est.

Nous en profitons pour faire une autre pause casse-croûte (enfin pour Laure et Hervé, c'est la 1ère !!!). Puis nous attaquons cette magnifique galerie avec d'énormes marmites au plafond.

La galerie est magnifique, avec d'énormes marmites au plafond


Belle conduite forcée



 Nous arrivons ensuite dans une immense salle que nous gravissons bloc par bloc jusqu'à arriver à un cul de sac avec une corde qui permet d'escalader une grande coulée stalagmitique. DD ne se rapelle pas de ça pour accéder à la salle Edmond Milhau. Une partie de l'équipe continue. Adrien n'a pas son baudrier et ne peut donc pas continuer. DD, Cyril et moi décidons de nous arrêter ici pour éviter de trop puiser dans nos réserves. Ils ne sont plus que 6 pour aller voir cette immense salle !!!

DD, Adrien, cyril et moi faisons tranquillement demi tour pour ne pas retarder trop la remontée. Le temps de remonter le P35, ils nous aurons rejoins pensons-nous.


Je remonte en tête, puis après quelques dizaines de mètres dans le méandre, je croise Hervé et Olivier qui descendent !!!! Heuuuuuuu, j'ai pas fumé de pétard pourtant !!!! Alors, ça doit être le mal des profondeurs !!!!

Et bien non, ce ne sont pas de fantomes !!! En fait, ils n'ont pas trouvé la salle Edmond Milhau car on s'est trompé dans la grande galerie. En fait, ils ont fini par retomber dans le grand ébouli au niveau de la galerie supérieur !!! Eux n'ont plus n'en croyait pas leurs yeux !!! Finalement, il s'agit d'un shunt qui permet d'éviter toute la zone d'étroiture !!! Malheureusement pour eux, Il fallait redescendre pour nous prévenir et déséquiper !! En plus, Pierre avait aussi abandonné en cours de route. En faisans demi-tour, il s'est plus ou moins perdu. Du coup, Hervé et Olivier ont été obligé de retourner à sa rencontre !!!!


Nous poursuivons tranquillement la remonté assez pénible dans les étroitures avec un kit et nous rejoignons la galerie supérieure où Jean-Louis, Laure et Maryline nous attendent sous leurs couvertures de survie. Nous faisons une pause et préparons des boissons chaudes.

Puis, Laure, Maryline, Cyril et moi continuons la remontée.

Juste avant d'attaquer l'infamme boyau final pour lequel nous nous étions préparé psychologiquement, ça bouchone. Mais que se passe-t-il ? Au niveau de la corde qui permet de faire la désescalade, une corde pend au dessus de nos têtes !!!

En fait, Sébastien, Jérome et Didier qui sont sortis tôt et sont très curieux, ont décidé de prendre une corde qui trainait dans une voiture pour aller explorer la 1ère entrée maçonnée qu'on avait vu en passant le matin. Qu'elle bonne idée ils ont eu. C'était en fait la 2ème entrée qui permet de shunter le boyau !!! Finalement, nous sommes 10 à profiter de cette aubaine. Merci à eux.




Si vous n'êtes pas croisé avec une anguille, c'est l'entrée à utiliser pour explorer la Leicasse.

23H30, tout le monde est sorti. Nous rentrons au camping vers minuit et demi et faisons table longue jusqu'à 3H du matin.


TPST : 6H30 pour la galerie supérieure
12H pour la totalité


Maintenant qu'on a trouvé les 2 shunts, on est motivé pour y retourner !!!!

Bilan médical: l'eau de source du camping qu'on a bu la veille a causé de nombreux problèmes intestinaux à une grande parti de l'équipe et a même provoqué l'abandon de Marcel et Didier. Quant à Sabine, elle a le gros orteil cassé !!

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Dimanche 10 mai : Le Mas Raynal



Le temps de plier le camp sous la pluie, nous partons du camping vers 11H. Philippe, Sabine, Olivier, Ghislaine, Noémie, Jérome et Mélanie sont déjà repartis sur Toulon.

DD nous conduit directement devant l'entrée du Mas Raynal. Il pleuvine et nous sommes à moitié dans les nuages et il y a du vent. Sale temps !!!

Nous nous approchons prudement de cet immense vide. Vraiment très impressionnant !!!



Mieux vaux se mettre à plat ventre pour essayer de distinguer le fond  106m plus bas.


Laure, Marilyne et Sébastien sont très motivés et se préparent rapidement. Puis Didier se prépare également. Pour ma part, je n'avais pas vraiment envie de me changer avec ce froid !!!! Je reste sur le pont rocheux pour regarder les autres descendre.

Finalement, je craque. Je retourne à la voiture enfiler la combi par dessus le jean et le tee-shirt, en gardant les baskets.



Vraiment impressionnant !!!



Pierre est allongé sur le pont rocheux et regarde Sébastien déséquiper.

TPST : 1H

A refaire une prochaine fois quand la météo sera plus clémente.

IMBUT DES ENFERS

Dimanche 19 avril


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Participants :
Denis, Jean-Claude, Flower, Philippe, Sabine,
Jérome, Mélanie, Olivier, Zette
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Dernière sortie initiation de la saison pour notre nouvelle équipe.

Tout le monde est à l'heure au rendez-vous sur le parking d'OK CORAL. On reprend les voitures et direction Ribou, puis la piste d'accès. Arrivé sur place, il y a une grosse flaque que certain n'oseront pas franchir.


Pour l'instant, il y a du soleil, mais la météo n'est pas très favorable. On se presse un peu afin de sortir le plus tôt possible.

Sabine est équipée en WW. Elle a enfin reçu son matériel tout neuf !!


10H30, Denis démarre l'équipement 


1er point technique, l'accès au puits d'entrée


Sabine dans le puits d'entrée

Sortie accrobatique du petit méandre

L'équipe en attente au sommet du P30

Mélanie attaque le P30


Denis équipe le P19 au sommet de la grande salle


Ca commence à se ressérer !!!

Encore un accès serré


Sans fiche d'équipement, pas simple de prévoir le matériel sans rien oublié. Et apprès avoir fait tous les fonds de tiroir (enfin tous les portes matériels des baudriers), il nous manque 3 plaquettes pour atteindre le fond. Mais, ce n'est pas bien grave car le dernier puits est bien arrosé et il y a de l'eau au fond !!!



A la remontée, les passages techniques ne sont pas plus simples à franchir. Aller, on tire sur les bras !!!



Sortie du P19 : Pas simple non plus !!!


Sabine


Jérôme arrive au pied du P30

Zette dans la remontée du P30



16H, tout le monde est sorti. Pour l'instant il fait beau, mais Denis et Flower qui sont sortis les premiers sont sortis sous la pluies !!!

Comme d'habitude, barbecue partie. Le feu a été dur à allumer avec le bois humide !!!
Au menu, Figatelli, saucisses, merguez, steack, .... le tout arrosé de bonne humeur

Flower notre chef cuisinier


La pluie ne nous a pas épargnée !!! Mais il en faut plus que ça pour nous décourager !!!



Bon là on commence à se décourrager !!!


Après 1/2H, le ciel bleu revient et nous permet de déguster le Génépi de Denis sous les rayons du soleil.

Sympathique sortie dans un cavité toute propre malgré les pluies incessantes. Sabine n'a même pas pu salir son matériel tout neuf !!!

TPST : 5H

EXERCICE SECOURS
SUR LES
FALAISES DE MAZAUGUES

4-5 avril


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Participants ACV :

Alain, Marie, Jean-Claude, Patricia, Jérôme, Mélanie, Philippe, Sabine
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Installation du camp le vendredi soir. Il fait plutôt frais, mais heureusement il ne pleut plus !!! Après installation d'une bâche pour nous protéger du froid et de l'humidité, nous pouvons enfin nous restaurer.


La nuit fut très fraîche. Les premiers levés ont gratté le givre sur la table pour prendre le petit déjeuner !!!



SAMEDI :

10H : toujours pas de nouveaux arrivants !!!! Finalement, le reste des trouppes commence à arriver une demie-heure plus tard.

En attendant, nous commençons par aller équiper 3 voies.


Nous débutons l'exercice vers 11H. Il y a beaucoup de débutants et pas de chef d'équipe. DD forme 3 équipes et nomme 3 chefs d'équipe : Didier, Hervé et moi-même.

Après quelques informations de base et la prise du matérériel, direction les falaises. Compte-tenu du nombre de débutants, il faut commencer par les montages de base : répartiteur de charge et palan.

Répartiteur de charge

Palan

Installation de la poulie pour le contre-poids


Planté de spit


Repas vers 14H30


L'après-midi, nous commençons à réfléchir aux ateliers à installer pour sortir la civière sur chacune des 3 voies. Les ateleirs seront plus ou moins sofistiqués en fonction du niveau des équipes. Pour l'équipe ACV, c'est mise en place d'un contre-poids et d'un palan dans la zone la plus étoite de la faille !!! Ca va être du sport pour sortir la civière !!!


En fin d'après-midi, démonstration d'une mise en civière avec Didou comme cobaye.



Ensuite, la civière est descendue au fond de la faille puis remontée sur le 1er atelier, puis redescendue, puis remontée sur le 2ème atelier.

Le 1er atelier

Didou en a assez et sort de la civière. Il faut donc trouvé une autre victime, mais les volontaires ne se bousculent pas. A la surprise de tout le monde, Patricia se porte volantaire !!! Et bien, ça va être du sport car le 3ème atelier se trouve dans une zone très étroite, digne de nos cavités varoise !!!

Et comme prévu, ça a été chaud. C'est Jérôme qui joue le rôle de contre-poids et Philippe celui de régulateur. La remontée fut longue et difficile. Patricia a vu la paroi de très très près, Jérôme s'est étranglé avec son casque qui est resté coincé et plusieurs personnes ont dû fournir de l'aide pour hisser la civière!!! Dur, dur !!!


Et pour reprendre des forces, moment de convivialité autour de la table au clair de lune. La soirée est moins fraîche que la veille. 

Jérôme fait de la spéléo dans les ronces à la recherche des bouteilles de vin !!!



DIMANCHE :

Pas de gelée matinale aujourd'hui !!!


Après le petit déjeuner, retour sur les falaises. Un nouvel ateleir est rélaisé et la civière y fera quelques aller et retour avec Sabine à l'intérieur.



Ensuite, pour terminer la matinée, Alain fait une présentation des nouveaux téléphones et de leur utilisation.

Repas vers 13H. Les nuages arrivent et sont de plus en plus épais et noir. Nous rangeons le camps juste avant la première averse.