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3 mars 2008 1 03 /03 /mars /2008 19:52
Pas JB / Thipauganahé / Devoluy.
 
Pour tout vous raconter, heureusement que la plongée au JB a été annulée !
Retour à Dimanche passé : La fièvre me cloue au lit. Difficile, dans ces conditions, d’imaginer monter au refuge de Folly ou même de descendre à -900m.. Lundi, La fièvre est toujours là. Le sorcier consulté me prescrit des antibiotiques et me prédit une guérison rapide. Mardi, la fièvre tombe mais je suis vidé de toute énergie. Qu’à cela ne tienne ! Nous partirons mercredi ou jeudi. Mercredi, ça va mieux. Le méchant microbe a succombé sous les assauts des médicaments et des soins attentifs de Catherine. Soyons fous ! Je tente une sortie jusqu’au pigeonnier du Revest. Ce n’est pas la grande forme mais, Catherine et moi préparons nos sacs pour aller donner un coup de main au déséquipement. Les courses sont faites, la voiture est chargée. Nous décidons de partir le lendemain de bonne heure. Juste avant de nous coucher, je vide mes mails et je tombe sur un message de Michel Guis qui nous indique que tout est annulé pour le Week-end. Il n’y aura plus personne au refuge. Damn’ed ! Ce n’était vraiment pas notre destinée !
 
Le matériel est prêt ! Il ne faut pas le laisser refroidir. Denis nous charge d’aller vérifier les scellements dans le Thipauganahé. Nous voilà donc, jeudi, Catherine et moi, devant l’entrée du gouffre. Nous éprouvons quelques difficultés à décrypter l’équipement imaginé par nos prédécesseurs. Au bout d’une demi heure, pendu aux alentours du premier fractionnement, je réalise un drôle de Mickey et je reprends la descente du Puits de l’A380. Arrivés au sommet de la salle, nous décidons d’utiliser l’équipement en place, laissant à Denis le soin de tester (pester ?) le lendemain les scellements fraîchement posés.
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Après un rapide tour de la salle (Ha ! Super ! Ho ! Magnifique !), la découverte de petits ossements et d’une perle de caverne – et un petit pipi (Pssssst) -, j’attaque la remontée dès que le « Libre » de Catherine retentit sous la voûte sombre de la caverne aux milles cristaux.
 
Arrivé au fractionnement, mon regard se pose sur mon delta. IL EST GRAND OUVERT ! Et du coup, moi aussi, je suis tout vert ! Une étrange sueur exsude instantanément de chacun de mes pores. Restons Zen ! - me dis-je. Tant que le tout est en tension, rien ne peut arriver. Je fais taire la petite voix qui me rappelle la loi de Murphy et confectionne avec soin un delta de secours avec de la cordelette Dyneema que je tresse entre les boucles de mon harnais, le trou inférieur du croll et la boucle de ma longe. Une fois sécurisé par ce bricolage, je mets toutes mes forces dans la fermeture du maillon. La virole est coincée par la boucle droite du baudrier et il faut que je soulage l’ensemble de mon poids pour visser millimètre par millimètre la virole du MAVC. Le temps passe très vite dans ces conditions et je ne tarde pas à entendre la voix de Catherine qui s’inquiète depuis le sommet du puits. J’arrive – lui crie-je. Tout va bien !
 
Arrivé au sommet du puits, je raconte ma mésaventure à Catherine et lui promet de m’acheter un maillon à virole automatique.
 
Il nous reste 3 petits jours de vacances et nous décidons de partir étrenner dans le Dévoluy mes belles chaussures et mes raquettes achetées tout spécialement pour aller au JB. Départ vendredi 14h00, Destination la cabane du Camarguier. Nous arrivons en fin d’après-midi au Grand Villard. Nous laissons le Kangoo à la sortie du hameau et prenons la piste qui grimpe vers la cabane. 45 minutes de marche suffisent pour rallier notre but. Il n’y a personne. Le gîte est superbe. Une table, 2 bancs et surtout un petit poêle à bois qui ne tarde pas à ronfler de bonheur et de conserve avec nous. Au petit matin, des voix de skieurs nous réveillent. Nous faisons une grasse matinée bien méritée. Vers midi, les skieurs sont de retour. Ils ont fait l’aller-retour jusqu’à la traversée olympique. Nous discutons matos, spéléo et cabane et ils reprennent le chemin de la civilisation. Nous chaussons les raquettes et partons pour une virée dans le vallon du Villard. Le vent qui descend des sommets nous chasse et nous repousse, à grandes bourrasques, jusqu’au Chorum des fontaines. C’est un peu court pour Catherine mais bien suffisant pour ma convalescence. Nous profitons une dernière nuit de l’hospitalité de la cabane du Camarguier, et, après un pèlerinage aux « Grandes Gillardes », reprenons la route de TOULON. Fin des vacances….et début de nouveaux projets d’explorations sur ce beau massif. Pourquoi pas commencer par une petite traversée Gnocchi-Forcenés dès que la neige aura encore un peu fondu ? Que les volontaires se fassent connaître !

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C@therine   &   M@rcel



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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 00:13

            Compte rendu Jean Bernard 2008 .

 

Après la réception d’un mail de Chouchou concernant une sortie au Jean Bernard nous décidons avec Bertrand de faire partie de l’aventure - paisible. Nous prenons contact avec un des plongeurs Michel GUIS qui nous en dira plus long sur cette explo.

Après quelques coups de téléphone et quelques heures de voiture – paisible - nous voilà à Samoëns où nous retrouvons les plongeurs Laurent TARAZZONA et Michel. Après un pique-nique devant la caserne des pompiers, nous montons au parking de Latay, départ du sentier montant au refuge de Folly.

 

                                                                                        

 

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Il fait un grand soleil et cela inquiète quelque peu les plongeurs sur la réussite de la plongée. Un coup d’œil sur le ruisseau passant en contre bas du parking nous fait dire que la plongée du siphon pourrait être compromise. En effet, il y a beaucoup d’eau et elle est marron, c’est pas bon.
 

Nous partons donc chargés pour deux heures de marche –paisible - en direction du refuge. A mi-parcours nous chaussons les raquettes et nous arrivons sous un grand soleil au refuge où une partie de l’équipe se fait dorer au soleil sur des karimats - paisible. Rencontre avec le Club Vulcain et le grand patron Bernard LIPS. Les plongeurs lui font part de leurs inquiétudes mais Bernard est optimiste ‘il gèlera cette nuit’ pas de problème. 

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Nous faisons partis de l’équipe 4 et notre mission est de descendre le matériel des plongeurs à -1000 - paisible ! Nous ferons équipe avec Josiane Lips et Olivier, avant le repas Josiane nous amène nos charges : pour Bertrand et moi ce sera une bouteille de plongé de 3 litres chacun !!

Après un repas copieux et arrosé nous décidons d’aller nous coucher dans le refuge d’en haut. Il est 21h et ça fait longtemps que l’on ne s’est pas couché à cette heure là.

Grand luxe, lits superposés et matelas confortables où nous passerons une nuit réparatrice en compagnie des deux plongeurs.

Le matin nos craintes se confirment : le redoux est toujours présent et, dans la nuit, la neige n’a pas gelé, pire elle continue de fondre. Nous croisons les équipes parties la veille avec mission d’équiper le trou jusqu'à -900m. Ils se sont arrêtés à -850m, faute de cordes, et ils nous disent que tous les kits sont sur une grande vire. Ils nous disent qu’il y a de l’eau dans le collecteur et tous sont d’accord pour dire que le débit de la rivière a grossi entre leur descente et leur remontée.

A 10h, réunion au refuge d’en bas où la décision est prise : pas de plongé cette année. C’est trop dangereux, surtout que le redoux s’est installé et que la météo prévoit de la pluie pour mardi. Notre missions est donc d’aller chercher les kits laissés à -850m. Nous descendrons donc à vide, ce qui nous rassure un peu car les kits de plongée sont bien lourds.

Une équipe de six personnes est créée. Laurent, Michel, Mathieu, Olivier, Bertrand et moi même avons donc la lourde tâche de remonter ces kits au bivouac de -500m.

Mathieu et Olivier partent en premier pour la marche d’approche d’une heure qui mène a l’entrée du trou, nous passerons par le V4.

Une demi heure plus tard le reste de l’équipe part et sous les conseils d’un des vulcains nous emprunterons le chemin de la Combe aux Puaires mais nous avons dû louper la sente remontante et nous voilà partis dans la mauvaise direction nous devons donc couper et faire notre propre trace pour rejoindre l’entrée du trou. Ce qui rallongea notre approche d’une bonne demi-heure. Nous voilà enfin devant l’entrée.

Nous nous changeons rapidement dans la neige et Bernard nous demande d’être rapides entre -500m et -900m pour éviter la crue.

Nous nous engouffrons vers 14h30 dans le trou notre premier objectif est de rejoindre rapidement le bivouac de -500m. Nous commençons notre descente par un long toboggan gelé et veiné de glace qui descend jusqu’à la côte -100m, nous enchaînons ensuite le puits Alain et le puits des Savoyards où s’ensuivent des passages entre des blocs et quelques ressauts qui nous amènent dans l’actif, et c’est actif !

L’eau est froide et les puits sont arrosés.

La rivière emprunte un méandre lisse et sculpté. C’est magnifique !

Quelques passages aux pieds des cascades sont sur-ventilés.  Les embruns et le froid nous transpercent le corps. C’est l’enfer ! On ne s’entend pas parler.

Nous quittons l’actif pour emprunter le puits de la Gourance, passage shuntant le morceau du réseau effondré où nous descendons de 30m pour remonter de 30m, c’est un shunt fossile où tout est glaiseux.

Nous arrivons au bout de deux heures au bivouac de -500m qui se trouve au bord de la rivière où nous faisons une pause : thé, soupe et conté nous font repartir de plus belle .De -500m à -900m nous sommes dans le collecteur. Méandres, cascades et ressauts s’enchaînent. Après 1h30 de progression nous voilà à -850m où les kits nous attendent sagement.

Nous y retrouvons Olivier qui nous dit que Mathieu est parti seul voir le siphon à -1000m. On a quelques inquiétudes à son sujet et nous lui laissons un mot. Olivier, arrivé avant nous, commence à avoir froid et à trouver le temps long. Il lui a donné une heure de rendez vous et il est à l’heure. Tout va bien et après une courte pause nous prenons le chemin de la sortie, chargés d’une bouteille de plongée. Les puits s’enchaînent, bien arrosés et la remontée est plus humide que la descente. Bertrand ne guide pas sa remontée dans un rappel dirigé et fini sous la cascade. Il commence à avoir des crampes et on se fait un peu de soucis pour lui. Mais le moral est bon.

Et après quatre heures de progression nous voilà arrivés au bivouac de -500m. Il est 23h et nous décidons de faire une bonne pause pour sortir de jour. Bertrand est trempé, frigorifié et a du mal à se réchauffer, mais le moral est bon.

A 00h30 nous prenons la décision de repartir. Ayant divisés nos charges les kits sont plus légers et ca fait du bien.

La remontée est longue et il fait très froid. Bertrand est en hypothermie et sa progression est de plus en plus lente, chaque mouvement devient pour lui difficile mais le moral est bon.

Content de sortir du collecteur nous retrouvons les grands et magnifiques puits qui nous donnent accès au toboggan gelé.

Nous sommes heureux de retrouver la neige ayant pris un peu d’avance avec Laurent nous nous changeons et nous attendons le reste de l’équipe qui ne tarde pas à arriver .Bertrand est trempé, gelé, boueux, frigorifié, affamé mais heureux. Il est 7h30 et nous avons passé 17h sous terre.

Dehors, mer de nuages sur la vallée, le soleil se lève que demander de mieux ? Génial !

Nous partons pour une heure de raquettes bien lourdement chargés des kits que nous avons remontés. Après plusieurs gamelles nous retrouvons la douce chaleur du refuge.

Après un bon repas, nous plongeons dans nos duvets d’où nous émergeons vers 13h. Nous préparons nos sacs, avalons une petite collation et nous voilà partis pour deux heures de descente jusqu’au parking où nous arrivons éreintés. Après quelques « au revoir » nous prenons la route. 7h de voiture nous attendent et nous arriverons à Nice à 01h00 du matin, enfin à la maison - paisible.

Bonne expérience, bonne ambiance, accueil chaleureux, trou hors du commun. Merci les Vulcains et les autres, à très bientôt.

 

Merci à tous et à l’année prochaine si une sortie est prévue.

 

On sait que tu as eu peur Marcel !!, mais l’année prochaine tu seras sanglé à une bouteille de plongée !! Con !
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11 février 2008 1 11 /02 /février /2008 00:08

INITIATION AU RAGAGE DES FENOUILS

10 février 2008  

Denis, Marcel, Pierre, Florian, Angélique, Zette , Joan, Bastien et moi-même avons accompagnés nos 4 débutants : Didier, Olivier, Jérome et Laure-Anne.


Au programme de cette journée, le ragage des Fenouils jusqu’à la grande salle à –50m avec équipement par les deux entrées.


Après distribution du matériel et préparation des kits, toute l’équipe entame la marche d’approche d’une vingtaine de minutes.

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La grande entrée est réservée aux personnes parfaitement autonomes car il y des passages délicats. Ainsi, 2 équipes sont formées en fonction du niveau.


Denis et Marcel se chargent de la petite entrée, quant à moi, je me lance dans l’équipement de la grande entrée. Didier, Pierre, Florian, Angélique et Zette décident de me suivre.

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Mais, mis à part le début, l’équipement n’est pas très évident. Du coup, j’y passe pas mal de temps. Vers –20m, gros problème : sur une belle coulée de calcite où il faut absolument fractionner car ça frotte, 3 superbes trous qui ont dû abriter un jour des spits, mais là, ils sont vides !!! Après de nombreuses minutes de recherche, pas un spit en vue. J’averti la surface du pb. Marcel quitte son équipe et vient me rejoindre. Du coup, Zette et Angélique changent d’équipe.


Après de nombreuses minutes de recherche, Marcel fini par trouver un spit planté au plafond qui permet de faire une grande dév. Au fractio suivant, il me laisse reprendre l ‘équipement. Et je continue encore un peu à galérer !!! Dur, dur la spéléo !!!!


A une quinzaine de mètres du fond, j’aperçois le départ de la vire. Denis est en face, au niveau de la lucarne et nous attend impatiamment.


J’appréhendais un peu l’équipement de cette vire, mais finalement, c’est ce qui a été le plus facile. En bout de vire, Marcel lance le reste de corde à Denis afin de faire la jonction.


13H, nous avons enfin rejoint l’autre équipe qui nous attend pour manger. Mais dans la précipitation, Marcel a laissé le kit bouffe en surface. Du coup, nous nous partageons la maigre pitance de Zette et moi-même. Au menu, un carré de pizza, une fougasse et quelques barres de céréale pour 13 personnes !!!

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Pour le retour, Denis part par la grande entrée avec Olivier, Zette et Angélique.


Coté petite entrée, je pars en tête et me cale dans la petite niche au niveau du premier fractio afin d’aider les débutants (c'est l apremière fois qu'ils passent un fractio à la montée). Florian me suit et se place en haut du puits pour les accueillir et vérifier qu'ils se mettent bien en sécurité.
 

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Après le passage de Jérome, Laure-Anne et Bastien, je termine la monté du puits et me place au fractio du dernier puits afin de les faire sortir.
 

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Vers 16H, nous faisons surface. L’autre équipe nous attend depuis 1H. Denis fait quelques commentaires sur la grande déviation installée par Marcel dans la grande entrée et qui a posé un gros souci à la montée. Du coup, elle a été supprimée. Au passage, cette grande dév installée en fixe a dû être mise en place par un spéléo croisé avec un oiseau (dommage, j’ai pas de photo) !!!!


Enfin, nous pouvons prendre l’apéro et le repas tant attendu et mérité!! Dommage qu'il n'y ait pas un petit feu pour se réchauffer car il caille !!!


C’est une belle cavité et la sortie a vraiment été très appréciée. Laure-Anne, pour qui c’était une découverte du milieu souterrain, a été enchantée.


Pour ma part, bonne expérience d’équipement pour préparer le brevet d'initiateur, mais un peu galère quand même !!!!

 

 Jean-Claude 
 

 

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9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 12:16

Avril approche. Jean-claude doit se préparer pour le stage initiateur. Ce samedi, le soleil, qui a du mal à se lever, réchauffe timidement le calcaire des falaises du Revest. La bouche du Ragas bée sur les profondeurs du massif de Siou-blanc où résonnent silencieusement les masses d’eaux qui se sont abattues récemment sur le massif. Il nous a fallut à peine quelques minutes pour passer de la vie trépidante du centre ville au calme des sous-bois. Nous poussons la lourde grille qui défend l’accès au porche et nous posons nos sacs. Nous déballons rapidement notre équipement : Baudriers, casques, matériel mécanique, cordes et échelles. Le grand duc qui niche dans un recoin du puits hulule :

 HuHuHu ! Ho ! Les gars ! Moins de bruit ! Je viens de me coucher Moi ! nous dit-il dans sa langue. Huhuhu !

 

L’objectif du jour est de réviser les techniques de réchappe, de moufflage et de manœuvre d’échelle. La fraîcheur persistante et l’humidité pénétrante nous incitent à nous équiper rapidement. Jean-claude est prêt à s’élancer. Je lui confisque son descendeur.

-        Pas de chance ! Tu vas devoir improviser !

Sans même un regard sur le « Petit Marbach illustré », Jean-claude exécute un magnifique nœud italien et débute la descente.

          En tenant la corde verticalement à hauteur du visage, on évite de vriller la corde ! Lui crie-je, lisant la page 268 du manuel.

Je le rejoins au bas du puits (sur nœud italien, par solidarité) et lui confisque également son croll.

          Tu te rappelles du nœud en cœur ?

          Non !

          Moi non plus ! Un nœud italien fera l’affaire.

Et le voilà parti. C’est bien plus fatiguant que lors de la descente. C’est même vraiment la galère ! Arrivé au fractionnement, on décide d’arrêter et de faire plutôt un nœud « Machard » en remplacement de la poignée. C’est beaucoup plus facile et certainement exploitable aussi en remplacement du croll.

Une douce voix tintinnabule sous le porche quelques mètres au dessus de nous. Cathy vient d’arriver avec le ravitaillement.

Nous nous installons au soleil sur le coté de l’entrée et dégustons un jus d’anis frais et quelques cacahuètes avant de nous attaquer à un magnifique poulet encore tout chaud qui ne résiste pas longtemps à nos assauts carnassiers. Mmmmmmmmm !

Mais le temps passe et pas question de faire la sieste : Le devoir nous attend !

Pendant que Jean-claude refait une descente dans le Ragas pour tester le nœud en cœur, j’installe une corde sous le pont qui enjambe le ruisseau en aval du porche.
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C’est idéal pour se faire quelques décrochages. Nous enchaînons plusieurs techniques (Pédale crollée, Croll à croll) en suivant le manuel. Les bases sont acquises, mais la pratique est nécessaire pour acquérir les automatismes qu’exige l’urgence de ce type de manœuvre – Et je parle pour moi aussi.
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Nous faisons une courte pause en jouant à faire passer un nœud dans un palan  et, pour nous finir, nous replongeons dans le puits après y avoir accroché un train d’échelle. Nous remontons en auto-assurance en comparant les types de positionnement du bloqueur (en bout de longe et fixé à la ceinture à l’aide d’un élastique de botte ou sur l’épaule en bout de longe longue)

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16h30. Nous plions nos gaules et l’échelle et rentrons vers nos chaumières où nous attendent nos pénélopes.

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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 01:19

INITIATION - LA PISTE AUX ETOILES

27 janvier

Quatre débutants sont au rendez-vous à Solliès-Toucas : Didier dont c’est la 3ème sortie, Ghali qui a déjà fait une sortie avec nous fin 2006, Estelle qui a pris contact avec le club en début d’année mais qui a déjà fait 4 initiations dans le Lot et enfin Olivier qui a fait un peu de spéléo hors club.

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Vers 10H, tout le monde est au parking, au départ du chemin d’accès. Distribution du matériel et en route pour 20 minutes de marche d’approche. La température est vraiment très agréable pour cette saison.

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11H, c’est parti. J’entame la descente, suivi de Estelle, Marcel, Ghali, Denis, Didier, Bruno, Olivier et DD les olives. La descente se fait tranquillement, sans problème. Néanmoins, Ghali n’est pas du tout en confiance.

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Arrivé au niveau de l’étroiture, je termine l’équipement avec les 2 plaquettes fraîchement percées à 10mm et la clé de 17 qui va avec !!! Et c’est reparti pour le dernier puits. 
13H, Presque toute l’équipe est en bas. Il ne reste plus que Didier qui doit passer l’étroiture, encadré par Denis en dessous et Bruno au dessus. Mais après plusieurs tentatives, il préfère renoncer.
Pendant ce temps, nous en profitons pour avaler un petit casse croûte et chacun jette un coup d’œil sur l’étroiture permettant d’accès à la suite du réseau. 

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13H30, j’entame la monté du P14. Pendant ce temps, Denis, Didier et Bruno attaque le P33. Je m’arrête juste au dessus du fractio pour attendre Estelle et lui remettre en mémoire la manip. Pas de souci. Marcel nous suis et reste également en position au dessus du fractio pour attendre Ghali.

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Le P33 n’étant toujours pas libre, Estelle et moi attendons juste au dessus de l’étroiture l’arrivé de Ghali. Mais il semble vraiment peiner. 
Bruno me fait péter un « libre » pour le P33 et me demande si il faut qu’il reste en haut pour accueillir Estelle ou si je passe en premier. Je lui répond « je passe devant, tu peux continuer avec Didier et Denis ».
1 minute plus tard, alors que je commence à peine la remontée du P33, Marcel me prévient qu’il va falloir installer un balancier pour soulager Ghali dans le P33. Du coup je rappelle immédiatement Bruno. Ouf, il m’entend et revient au sommet du P33. Je l’informe de la manip à réaliser afin qu’il stoppe la progression de Denis, car c’est lui qui a le matériel nécessaire. Denis était déjà dans le P9 et Didier attendait juste en dessous. Du coup, il redescend jusqu’au sommet du P33 et laisse Didier au fractio.

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Lorsque j’arrive au sommet, Denis a déjà installé le Balancier et se tient prêt mais Ghali est encore dans le P14! 

Lorsque Estelle nous rejoint, Denis me demande de repasser devant Didier et de m’en charger jusqu’à la sortie. Dernière recommandation : « n’oublie pas d’allumer le feu pour les grillades !!! ». « Ok chef, on s’en charge... ».
 

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15H, nous sommes dehors et descendons sur la restanque. J’en profite pour prévenir Patricia que nous sommes sortis et finalement elle décide de nous rejoindre.
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16H, le reste de l’équipe sort. Finalement Denis, Bruno et Marcel ont remonté Ghali sur balancier dans tous les puits !!!  
Heureusement, le feu est prêt et le jaune les attend. Patricia arrive quelques minutes plus tard. Parfaitement synchro !!! Nous pouvons attaquer les festivités dans une ambiance très chaleureuse comme d’habitude. Angélique nous rejoint également.
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Au menu, Figatelli, merguez et magret de canard arrosés de bonnes bouteilles de vin. Nos débutants sont épatés !!! Et pour le dessert, des chamallows grillés qui ont fait fureur (n’est-ce pas Estelle ?).


En conclusion, Estelle a repris ses marques et se débrouille parfaitement. Olivier est également parfaitement à l’aise. Didier continue de progresser normalement. Par contre, pour Ghali, il faudra reprendre les bases lors de la prochaine initiation.
 

Jean-Claude

Diaporama

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25 janvier 2008 5 25 /01 /janvier /2008 23:54

EQUIPEMENT DE LA PISTE AUX ETOILES

25 janvier



Cette cavité est programmée pour la sortie initiation de dimanche. Mais comme c’est moi qui devait équiper et que je ne connaissais pas la cavité, j’ai pensait qu’il serait plus prudent de ne pas le faire le jour même afin de ne pas faire trop attendre nos débutants.
Denis m’a donc proposé de le faire vendredi. Angélique en a aussi profité pour nous accompagner.

Rendez-vous à 14H à Solliès-Toucas et en route vers le plateau.

Après une vingtaine de minutes de marche d’approche, nous atteignons l’entrée de la cavité.

15H15, c’est parti, premier casse tête pour moi : proposer un équipement confort pour l’entrée. Après quelques minutes de réflexion et des idées de Denis, je commence à tricoter sur les 3 arbres alentours. Nickel, on part debout.
3 ou 4m plus bas, deuxième pb : ça commence à frotter. Effectivement, j’ai oublié un goujon 1m au dessus de moi !!!!

Ensuite ça va beaucoup mieux : P10, P9 et P8 s’enchaînent sans pb. Viens ensuite la main courant et la tête de puits du P33. La, ça se corse un peu. Je commence l’équipement, mais avant de me lancer dans le P33, Denis me fait remarquer qu’avec le seul amarrage disponible sous mes pieds, je vais avoir du mal à faire un plein vide. Il faut donc reprendre l’équipement de façon totalement différente. Une dizaine de minutes plus tard, j’entame la descente. 1m plus bas, je place la déviation tout en étant un peu sceptique pour la suite Et
effectivement, quelques mètres plus, ça frotte. Denis raccourci la dév et je termine ma descente. Enchaînement avec le P5 et nous voilà au niveau de l’étroiture.
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Deux magnifiques goujons me tendent les bras pour équiper, mais bigre, ils sont plus gros que les autres !!!!!! C’est quoi ce bordel, c’est du 10mm !!!! Impossible de poser une plaquette la dessus.

Denis reprend la main. Raccordement de corde et amarrage sur le gros bloc au niveau de l’étroiture et il continue. C’est pas du tout confort, mais ça permet de finir. Pour dimanche, on percera 2 plaquettes à 10mm et on rééquipera.
17H30, nous sommes à 90m. C’est le terminus. Petite pause avant de remonter : petit casse croûte, remplissage de dudule et séance photos.

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Allez, c’est parti pour la remontée et Denis est obligé d’utiliser un croll et un pantin car son Jumar est H.S. Ah, ça change un peu, surtout pour les fractios !!! Il va falloir qu’il s’y habitue.

18H45, tout le monde est dehors. 

Finalement, c'est une bonne chose d'avoir fait l'équipement car ça a quand même pris 2H15 et en plus il va falloir repercer 2 plaquettes pour terminer l'équipement dimanche.


La suite, dimanche avec nos quatre débutants...
 
 
 
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20 janvier 2008 7 20 /01 /janvier /2008 23:49

LA SOLITUDE

20 janvier


Privé d'activités depuis plusieurs semaines à cause de son dos, Didou a organisé pour sa reprise une sortie inter-club à l’aven de la Solitude. Et pas moins de 8 personnes ont répondu présent : Sophie, Philippe, Christiane et Didier pour le SCT, Zette pour le GAS et Angélique, Didou et moi-même pour l’ACV.
Cette sortie est également l’occasion d’une reprise pour Angélique qui a fait un break d’un an  !!!

9H30, toute l’équipe est au rendez-vous devant La Solo. Compte tenu du nombre de participants, on envisage de faire 2 équipes pour faire la boucle réseau principal / réseau des marseillais. Reste à savoir si on a assez de matériel !!! On étale les cordes du club, celles de Didou et les miennes et on commence à préparer les kits. Et bien super, il y a de quoi tout faire.

10H30, l’équipe du réseau des marseillais attaque (Philippe, Sophie, Angélique et moi). Philippe commence l’équipement de la partie commune.
Dans les premiers puits, Angélique est un peu hésitante, mais elle reprend vite ses marques et ça passe sans pb.
Dans le réseau des marseillais, je remplace Philippe à l’équipement. La progression se fait en parallèle dans les deux réseau et avec tous les éclairages acéto, c’est superbe.

Dans l’autre réseau, c’est Didier et Didou qui se chargent de l’équipement.
Avec les scellements, c’est vraiment un plaisir d’équiper, mais je ne connaissais pas bien le réseau des marseillais. J’ai donc dû chercher mon chemin à plusieurs reprises !!!! J’ai même réussi à rater 2 scellements dans un puits. Les frottements m’ont mis la puce à l’oreille. J’ai donc dû faire une conversion et remonter de 4m. Il va falloir que je change de lunette !!
Mais finalement, on a pas pris trop de retard. Lorsque j’arrive à la lucarne du P55, l’autre équipe était en train de manger. Didou n’avait pas voulu faire le balancier pour sortir par la lucarne !!! Du coup, Zette me fait osciller la corde afin que je puisse la récupérer et faire un fractio au niveau de la lucarne. Et l’autre équipe nous rejoint pour terminer ensemble le repas.

13H30, c’est l’heure de remonter. Les préposés au déséquipement : Didier, Didou, Philippe et moi. Je pars en tête dans le P55 pour une remontée très arrosée !!!! Je suis suivi par Angélique qui teste le pantin que je lui ai prêté. Elle s’y est habituée très vite et a trouvé cette accessoire très confort.
Je m’arrête au pied du P35 pour attendre Philippe et le remplacer au déséquipement. Arrivé au sommet de ce puits, l’autre équipe arrive à peine. C’est donc Didier et Didou qui déséquiperont les puits de sortie.
15H30, nous somme dehors. Super, il fait encore jour et la température assez agréable.

16H, toutes les cordes sont lovées. Impeccable, plus rien à faire ce soir.
Maintenant nous pouvons profiter de cette belle fin de journée pour un petit casse croûte arrosé de jaune.

En rangeant son camion, Didou tombe sur son magnifique sherpa qui a fait couler beaucoup d'encre. Afin de ménager son dos et ses rotules, il décide d'en faire cadeau. Mais bizarrement personne ne se précipite !!! Finalement, c'est zette qui le récupère .

Et voici un premier exemple d'utilisation :

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Finalement, vous voyez qu'il il n'est pas tout à fait assez grand !!!!  Adieu Bob l'éponge......


Désolé, mais participant à l'équipement, je n'ai pas pu jouer au photographe. Heureusement Sophie s'en est chargée. Je vous invite donc à aller voir son article et ses photos sur le blog des Aragnous. En plus, je pense qu'elle ne va pas me rater ....


                                                                                                                                                               Jean-Claude
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24 décembre 2007 1 24 /12 /décembre /2007 16:38

L'ARRIVEE DU PERE NOEL

23 décembre

 

Ca y est, c’est le grand jour. 16H, toute l’équipe est au rendez-vous. Petit briefing avec l’équipe de la mairie. Dans un premier temps, on nous annonce que le projecteur de poursuite est en panne et qu’il faudra peut-être faire descendre le père noël de jour !!! Finalement, une demie heure plus tard, tout est rentré dans l’ordre. Néanmoins l’animation qui précédait la notre s’est terminée un peu plus tôt. Il faut donc qu’on se tienne prêt pour 17H au lieu de 17H30.

 

16H45, dernier briefing pour toute l’équipe avant que chacun rejoigne ses ateliers.

 

17H05, nous sommes prêts, mais demandons à la mairie de faire durer le plus longtemps possible les animations au sol afin qu’il fasse le moins jour possible. 17H20, le top est donné. Le père noël entame sa lente descente. Suspendu au bout de son câble, il fait des rotations sur lui-même afin de saluer tout le public.

 

Le voici arrivé au dessus du podium. C’est le moment le plus critique pour nos manœuvres de corde. De notre coté tout ce passe bien. Malheureusement, à cause du volume de la sono, Bernard qui est sol et qui doit donner le feu vert au père-noël pour se décrocher a dû se décaler pour entendre le talkie-Walkie et notre père le cherche en vain!! Du coup, il restera suspendu un bon moment, à faire de grand coucous aux enfants émerveillés qui attendent impatiemment sa descente. Les flashs crépitent à un rythme soutenu. Au bout de quelques minutes, le père noël prend la décision de larguer son amarrage et descend enfin vers le podium pour prendre place dans son traineau. Parent et enfants se précipitent pour lui serrer la main et faire des photos.

Trainer par quatre Husky, notre père noël entame un petit tour sur la place, mais la pluie fait son apparition. Du coup, tout le monde s‘enfui !!!! Même la sono plie bagage!! Finalement, décision est prise de ne pas faire repartir le père noël par la tyrolienne. Il fait un petit tour en ville et disparaît dans l’école.

 

 

 

Une prestation féérique applaudie par tout le public.  Dommage que la pluie ait fait fuir tout le monde et ne nous ait pas permis de faire le retour.

 

 

 

Jean-Claude

 

 

VIDEO

 

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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 00:41

LE PERE NOEL (4)

19 décembre

Derniers préparatifs avant le grand jour. Dans l’après-midi, la première partie de l’équipe s’est occupée du remplacement des cordes blanches par des cordes noires, des derniers réglages et de la mise en place du rideau noire dans le pin. Ensuite, petite pause au bar en attendant qu’il n’y ait plus d’enfants sur la place et l’arrivée des renforts.

Comme prévu, nous nous retrouvons à 19H sur la place avec Diane la responsable du service animation. C’est le moment de se préparer pour les répétitions. 

Après la distribution des talkies-walkies et les dernières instructions d’Alain, l’équipe se sépare en trois: une partie dans l’arbre, une autre partie sur le toit de l’école et 2 personnes sur la place au point de chute du père noël. 

Encore de nombreuses minutes pour que les équipes se mettent en place et c’est parti. Le père noël s’élance. La descente est assez rapide et le palan sur le toit s’avère plutôt gênant. Du coup, la traction se fait en directe. Ca y est, le voilà au centre de la place. Mais suite à une mauvaise coordination dans les communications, il largue sa longe alors que la corde du haut n’était pas encore parfaitement tendue. Il fait une petite chute libre; pas bon pour le spectable !!

 

De nouvelles instructions sont données avant le prochain essai. Sur le toit, le palan est remplacé par un gri-gri et c’est reparti. La descente est plus lente; sur le toit, les efforts de traction sont très importants et Lolo, Pépone et Pierre souffrent. Le moment du largage est arrivé, et cette fois, tout ce passe très bien et le père noël touche terre normalement. Les ateliers sont rapidement modifiés pour la remontée. Le père Noël se raccroche et la remontée débute. Mais il n’arrive pas à raccrocher sa longe. Du coup, il est obligé d’utiliser une pédale pour se hisser !!! Ca y est, il est accroché et l’ordre est donné au toit de libérer la corde. Mais le gri-gri est libéré trop rapidement : le père noël fait un grand bon et les deux contrepoids dans le pin (Denis et DD) se font une petite frayeur !!!!!

Avant la dernière répétition, tout le monde descend et se retrouve sous le chapiteau pour un débriefing.

Allez, c’est reparti pour un 3ème essai et là c’est presque parfait. Il faudra juste moins freiner la corde sur le toit lors de la remontée car les 3 contrepoids ont pris une bonne suée.

Et bien, avec tout ça, il est 22H !!! Il commence à faire faim !!!

 

Rendez-vous dimanche pour le grand final.

 

 

 

 

Jean-Claude

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17 décembre 2007 1 17 /12 /décembre /2007 00:10

INITIATION AU RAGAS

DE DARDENNES

16 décembre

 

Deuxième sortie initiation de la saison. Mis à part Didier qui a déjà participé à la première session, tous les autres sont nouveaux : Carole, Nathalie, Xavier et Bruno.

 

9H, tout le monde est au rendez-vous au pied du barrage. Ensuite, direction le parking, à coté du lac et distribution du matériel.

Vers 10H, nous sommes à l’entrée du Ragas. Denis, Marcel et moi-même équipons les différents ateliers.

 

 

Tous les ateliers sont prêts. C’est le moment d’équiper les débutants et de procéder aux démonstrations. Un bout de corde accroché à la grille et Marcel prodigue son savoir devant un public attentif : descendeur, croll, poigné, longe, ….. Houlala, ça commence à devenir compliqué tout ça !!!

 

Tiens, DD et Flower arrivent.

Bon, et bien maintenant, c’est à vous. Il faut enjamber la barrière et approcher de la corde amarrée plein vide sur une potence. Le stress est à son comble pour cette première descente. Mais tout va bien. Chacun arrive à maîtriser son stress et tout le monde est en bas.

Maintenant, deuxième appréhension : il va falloir remonter. Et ça à l’air facile quand c’est nous qui faisons la démonstration. Mais pour nos débutants, cette première remontée de 20m sera une grande souffrance. Ah sacret apesanteur !!

 

 

 

C’est pas tout ça, mais il est 13H et tout le monde a le ventre qui gargouille. On récupère nos sacs et on monte sur une plate-forme au soleil. Repas dans la bonne humeur arrosé d’une bonne bouteille de rouge apporté par Didier. Mouglouch, Sandrine et Cathy nous rejoignent.

 

Carole, qui a froid et a un peu souffert ce matin, nous quitte !!! Dommage de ne pas persévérer.

Aller, un petit café et ensuite on reprend les exercices sur les falaises ensoleillées. Chacun enchaîne les ateliers avec plus ou moins difficulté ou de facilité. En milieu d’après-midi, Nathalie est épuisée et arrête.

Afin de profiter moi aussi de la séance d’initiation, je demande à Mouglouch de faire un décrochage. C’est le 2ème en 3 ans !!!!

 

En fin d’après-midi, Xavier et Bruno sont plutôt motivés. J’entreprend donc avec eux une descente complète des falaises jusqu’au fond du puits. Super !!!

 

  

 

La nuit commence à tomber. On démonte tous les ateliers et on prend le chemin du retour avec les frontales.

 

 

 

La journée a été très appréciée et Xavier nous a même fait un montage vidéo avec ses photos. Sympa. N'hésitez pas à la télécharger.

 

 

 

Jean-Claude

 

 

DIAPORAMA PHOTOS VIDEO

 

Les petits nouveaux

 

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