Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 21:52

CANYON SEC "DEMANDOLS NORD"

Dimanche 1er mars

-----------------------
Participants :

Jean-Claude, Patricia, DD olive, Jérome, Mélanie, Zette, Didou, Bruno, Paul et l'organisateur Jean-Pierre
-----------------------

La météo prévue pour le dimanche n'était pas optimiste et samedi soir nous étions encore indécis.


Dimanche matin7H : il tombe quelques gouttes. Tant pis, on est levé, on y va.

Premier regroupement au niveau de la sortie d'autoroute de Cuers, puis j emarrête à Brignoles pour récupérer Mélanie et Jérome et c'est reparti pour 1H30 de route direction Barjols, Riez et Jurs. Didou et DD préfèrent passer par Carcès, Aups et Moustier.

9H05, nous arrivons à l'entrée de Jurs. Jean-Pierre et Paul nous attendent comme prévu à coté des poubelles. C'est très couvert mais il ne pleut pas. Les autres arrivent 20 minutes plus tard.


Nous partons de suite déposer les véhicules à l'arrivée du canyon. Didou laisse son camion en bas et nous reprenons les véhicules pour monter au départ. Mais après quelques centaines de mètres de piste, la barrière est fermée !! Un arrêté municipal du 26 février interdit l'accès à la suite de la piste !!! Damned !!!

 

 Jean-Pierre, notre Gentil Organisateur


On gare les véhicules et on s'équipe. Puis départ pour la marche d'approche qui durera 45min au lieu des 20 min prévues. Sur le chemin, une  pluie fine fait son apparition, mais rien de grave.

Marche d'approche sur les pentes du mont Denier

1er rappel de 3m pour se mettre en jambe

Aller, un peu plus dur cette fois : 5ou 6m !!!

Encore plus dur, avec une main courante d'accès !!
 

Les nombreuses désescalades glissantes à cause de la pluie

1er grand rappel (20m) avant la pause repas


Repas gargantuesque (pizza, saucisson, roti de porc, conté, camembert odorant, gateau à l'ananas, etc...) avec apéro, rosé, verveine et café. La verveine a fait de l'effet à Bru. Il verse le sachet de café dans son gobelet et se sert de l'eau froide sous les yeux ébaillis des autres !!!!


Le grand rappel de 45m vu d'en haut ....

Et vu d'en bas.
Pour éviter ce superbe cade en bas, il faut se décaler sur la droite, ce qui n'a pas été évident pour tout le monde, même pour Jean-Pierre (non, c'était une blague de DD qui a tiré sur la corde pour dévier ce pauvre JP!!)


La fin du canyon est très sauvage et il faut se faufiler dans les broussailles et les ronces




Super journée malgrès le mauvais temps. Mais la bonne humeur de toute l'équipe nous a fait oublié ce petit désagrément.



Voir aussi l'article de Zette sur le blog du GAS :
http://gasclub83.over-blog.com/article-28790990.html


DIAPORAMA

PHOTOS



Jean-Claude

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2008 2 01 /07 /juillet /2008 01:05

PLANFAE

30 juin 2008
 

Lors d’une sardine partie vendredi soir, Sandra lance à Denis : « Alors, quand c’est qu’on va faire du canyon ? ». Denis lui répond : « Et bien lundi si tu veux car je suis de repos ». Sandra saute sur l’occasion. Après 5 min de réflexion, Denis propose Planfae. Ok, rendez-vous lundi matin à 7H30. Bon, maintenant, il faut finir de faire griller les sardines et les rougets…

Dimanche soir, Denis confirme le rendez-vous. Pas d’autres candidats en vu. Finalement, Patricia décide de se joindre au groupe.

Lundi 7H30, Denis est à l’heure à la maison. Patricia s’est décidé à se joindre Le temps de prendre un café et de charger le matériel et c’est parti. Mais, à l’approche de Nice, surprise. Les chauffeurs routier font une opération escargot pour protester contre le prix des carburants. Et 1H de bouchon !!!!

Voilà enfin le parking de départ; il est 11H30. Bon et bien finalement c’est l’heure de manger. Ca sera toujours ça de moins à porter dans les bidons étanches.

 

Petite marche d’approche d’une vingtaine de minutes et puis il faut enfiler sa combi néoprène. 13H, enfin dans l’eau !!!! Il fait chaud et personne n’a mis le haut de combi.


Tous le groupe s’en donne à cœur joi. Il faut dire que Patricia et Sandra n’avait pas fait de canyon depuis 2 ans !!


Les descentes en rappelle et les sauts s’enchainent, parfois même plusieurs fois quand cela est possible.

 

 





Après 4H de descente, l’équipe rejoint la route. Mais la voiture est 3km au dessus. Bon, et bien on va essayer le stop, et c’est Sandra qui s’y colle.

Au bout d’1/4H, une voiture s’arrête , mais elle ne va pas dans le bon le sens et demi-tour pour ramener Denis à sa voiture. Sympa !!

Et pour finir la journée, petite pause au bar du village avant de reprendre la route.

20H, l’équipe arrive à la maison. Comme Patricia m’a averti par téléphone de son heure de départ, lorsqu’ils arrivent, le barbecue est prêt. Dominique nous rejoint pour manger.

 
Jean-Claude

 

 

DIAPORAMA  

PHOTOS

Partager cet article
Repost0
1 juin 2008 7 01 /06 /juin /2008 12:45

Samedi 31 mai. Tout est prêt pour partir dans l’arrière pays niçois pour faire la descente de la Ciavarline. Une équipe de l’ACV est déjà dans le coin pour une ballade dans la via ferrata de la coulmiane (voir article précédent). J’appelle Jean-claude qui me répond, accroché en pleine parois.

 - "Tous les canyons sont en crue dans le coin", nous dit-il.

- "Bon, on va se rabattre sur le Val d’angouire. C’est plus sur. Le canyon est habituellement assez sec et la météo s’annonce clémente ce dimanche."

 Nous chargeons le matériel dans le Kangoo (Que le Grand Viscomte bénisse son concepteur d’avoir fait un si grand coffre) et prenons la route en fin d’après-midi.

 En arrivant à Moustier, nous allons vite jeter un œil à la sortie du Canyon pour vérifier le débit. Il est toujours difficile de chiffrer le débit d’un cours d’eau mais en tous cas cela semble très raisonnable. Si la météo ne se gâte pas, nous pourrons nous lancer dans l’aventure.

 Nous plantons les tentes au camping à l’entrée de Moustier. La nuit tombe vite. Le village de Moustier s’illumine comme une crèche de noël sous son étoile d’or.

 

 

Le lendemain, le réveil sonne à 7h30. Damn’d ! J’ai laissé le sac ‘petit dej’ à la maison. Nous improvisons un petit déjeuner grâce à la boite de survie qui contient 2 sachets de thé, 4 sucres, une soupe et quelques doses de café soluble. La tente DECATHLON 2’’ tiens ses promesses. 2’’ pour la monter, 10 mn pour la plier.

Bastien est déjà un habitué de la descente de canyon. C’est par contre la première fois pour Johan.

 Nous laissons la voiture dans le petit parking à la sortie du canyon et empruntons le GR qui mène à La Palud. La balade commence par une belle grimpette qui a vite raison de l’enthousiasme de Bastien sans toutefois parvenir à tarir sa verve qui passent insensiblement des commentaires enjoués sur les aventures du héros de ses mangas préférés aux invectives imagées contre ces chemins qui font que de faire exprès de monter.

- "Si le Paradis existe, il est en descente." affirme-t-il avec le plus grand serieux.


Pourtant, chaque pas nous rapprochant du but, nous finissons par arriver sur le plateau d’où nous pouvons admirer le lac de sainte croix,  le plateau de Valensole et la fin des gorges du Verdon. Nous quittons le GR 44 pour suivre le tracé jaune qui plonge vers le Val d’Angouire. Catherine donne le rythme et nous entraine dans la longe descente vers le lit de la rivière donnant ainsi à Bastien l’occasion de revoir sa position sur la topographie du Paradis qu’il s’emploie aussitôt à nous faire partager.

Nous pataugeons dans le cours d’eau jusqu’aux premiers biefs profonds. Nous posons enfin les sacs après 2 heures de marche et faisons ripaille de petits pains au lait fourrés au Kiri et au Jambon suivis d’une compote arrosée à l’eau plate. Quel festin de roi !

 Catherine donne les dernières consignes : Pas de saut sans reconnaissance préalable !

 

Et c’est parti ! Nous avançons tranquillement dans la magnifique gorge creusée dans le calcaire. Le site est vraiment magnifique et la progression est facile.

 

Une cascade de 9m nous donne un peu de soucis car le rappel se bloque et Catherine est obligée de faire un peu de gymnastique acrobatique pour aller décoincer la corde.



Arrivé à la Poire, le débit nous semble trop important pour une descente sous cascade. Il y a deux équipements hors crue accessible par une courte escalade. Le second, le plus haut, est le plus sur mais nous pensons que nos cordes sont trop courtes pour  partir d’aussi haut. Ne connaissant pas l’équipement fixe disponible, j’utilise le premier en espérant trouver plus bas un relais praticable. Ouf ! Après quelques mètres de descente j’aperçois des scellements.  Le premier tronçon se termine dans une vasque profonde qui déborde dans la grande cascade. Il y a une grosse ambiance au relais. J’aide Bastien à me rejoindre. Le bruit de l’eau rend difficile la communication avec le haut. Johan nous rejoint. Bastien et moi sommes prêts à descendre, chacun sur notre brin de corde. Dès que Catherine nous rejoint, nous entamons la descente. C’est vraiment très beau. Une grande vasque peu profonde nous accueille. La lumière qui arrive dans la salle est étrange, comme étouffée par la roche et les embruns. Un rayon de lumière presque solide vient frapper un petit cairn. C’est un mélange subtil de calme et de vacarme, de vide et de roche, d’eau et de lumière. Evidemment c’est le moment idéal pour que les piles de l’appareil photo déclarent forfait. Donc, vous devrez vous contenter de ma description et faire un effort d’imagination pour imaginer la beauté de la scène. Johan descend à son tour. Catherine déséquipe et nous rejoint. Nous faisons une courte pause pour avaler une compote et un bout de pain au lait. Bon ! Ce n’est pas qu’on s’ennuie mais l’heure tourne. Il faut commencer à presser le pas si l‘on ne veut pas y passer la nuit.

 

Malgré moultes sollicitations, Bastien et Johan avancent tranquillement en bavardant. La vie est belle. La pente est douce ! Nous finissons par atteindre la dernière rupture de pente. En 2 rappels (10m et 15m) nous sommes au bas de la  dernière verticale. Le reste du canyon nous réserve encore un joli saut et des paysages magnifiques.


Mais bientôt un panneau placé bien en vue au milieu du chemin nous intime l’ordre de suivre le tracé rouge qui contourne la propriété privée où coulent les dernières centaines de mètres de la rivière. Fin de la belle vie en pente douce ! Le sentier remonte en rive droite et suit les falaises en direction de Moustier nous éloignant de notre véhicule. Bastien en profite pour réinventer les théories de Proudhon qui assimilait la propriété privée au vol et vouer aux gémonies les anglais et les indiens (l’heureux propriétaire de la parcelle étant britannique et a installé un tepee sur sa pelouse).

Après un long détour, Catherine nous guide sur un sentier qui semble piquer directement vers la route. Je réclame le silence lorsque nous passons tout près de 2 maisons (et je l’obtiens temporairement). Enfin nous arrivons à la voiture ou nous pouvons ôter nos déguisements de  scaphandriers et nous restaurer : Chips, camembert, bananes, compotes, ketchup, Coca-cola. Tout y passe. Le canyon, ça creuse l’appétit !

 

Il ne reste plus qu’à rentrer à la maison.

 

M@rcel 

Partager cet article
Repost0
12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 01:35

BAGNOLAR

12 mai 2008

 

En attendant l'article....












Galerie photos

DIAPORAMA

PHOTOS

Partager cet article
Repost0
11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 23:43


L'IMBERGUET
11 mai

 

Arrivés vers 18h chez Adrien à la Colle-sur-loup, en compagnie de Denis, Céline, Estelle et Jean-Marie, nous nous apprêtons à passer une soirée sympa avec apéro et barbecue au rendez-vous. Après cette soirée, certains vont se coucher, d’autres veillent encore un peu, mais à cause des moustiques, tout le monde aura, à part Adrien et Jojo (Ndlr, le coloc d’Adrien), une nuit plutôt courte.

 



Le groupe se dirige donc vers le canyon prévu ce jour même, certains dorment dans la voiture, et d’autres les prennent en photos. Après 45 minutes de trajet, nous arrivons à la sortie du Canyon. Chacun dépose vite fait des affaires de rechanges dans la voiture de Jean-Marie, puis nous montons tous dans le Partner avec Denis pour rejoindre le haut du canyon.



 

Une fois arrivé, il faut mettre les combis, chose difficile après une nuit assez courte. Presque tout le monde se change en silence, à l’exception d’Adrien et de Denis, qui même s’ils ne sont pas réveillés, continuent de jouer leurs rôles de déconneur. Jean-Marie quand à lui refusera de se mêler à l’ACV. Il se changera donc une voiture plus loin.




Après quelques délires d’Adrien sur le casque de water-polo de Denis, et quelques photos, nous partons pour la (courte) marche vers le canyon.

 

Encore une fois, la marche se fait assez silencieusement, chacun émergeant à son rythme, quant à Adrien et moi, nous mettons dès la deuxième vasque, la tête dans l’eau. Outch, ça réveille.



 

Après une courte marche dans la rivière menant au canyon. Ce dernier commence avec de nombreux petits toboggans, quelques petits sauts, et des désescalades. Tout le monde est assez ravi de voir que l’eau coule à flot. Aucune vasque n’est croupie, et l’eau est juste assez suffisante pour faire de ce canyon, une sortie aquatique plaisante à vivre. Chacun s’en donne à cœur joie en se jetant à l’eau, qui n’était il faut le dire pas vraiment froide.



 

Nous enchaînons les rappels, les sauts, les désescalades et les vasques, dans la bonne humeur, les rires et avec un temps clément. Puis nous arrivons (trop) rapidement à la fin du canyon, Denis déconseillant le saut final de 8m du fait de la forme de la vasque. Tout le monde descend donc près de la Vésubie, pour faire une photo de groupe. Puis nous remontons petit à petit vers les voitures, je pars directement alors que le reste du groupe reste quelques minutes sur le pont pour faire quelques photos sympas.




Enfin, chacun se change et Jean-Marie remonte récupérer le partner puis, une fois revenu, nous repartons quelques kilomètres en arrière pour trouver un coin pour manger un morceau et faire sécher un peu le matériel. Vers 15H, nous repartons vers les voitures, nous disons au revoir à Adrien et Jean-Marie, puis nous voilà repartis en direction de Toulon. Le week-end canyon se fini donc pour tout le monde sauf pour Denis qui repartira non loin de l'Imberguet le lendemain pour faire Bagnolar.

 

Alexandre


Galerie photos

DIAPORAMA 

PHOTOS 


Partager cet article
Repost0
28 avril 2008 1 28 /04 /avril /2008 01:01

LE GUIOU

26 avril 2008

 

En attendant l'article....











Galerie photos

DIAPORAMA PHOTOS
Partager cet article
Repost0
16 septembre 2007 7 16 /09 /septembre /2007 10:21

Trou souffleur

16 septembre 2007

En cette magnifique journée d'avant l'automne,  Cathy, Lolo et Marcel se retrouvent à la Ciotat, pays fabuleux ou a été inventé la Pétanque, les Pilotis et le triple Casa, pour une randonnée du vertige. Il s'agit de descendre un court canyon sec qui débouche dans une crique abrupte au pied des faises de la Ciotat. Un tyroliene permet de traverser la crique. Quelques pas d'escalade nous amènent dans une seconde crique d'ou nous nouvons nous extraire en escaladant sur des balcons de puddinge. Le soleil nous accompagne. Nous finissons la balade en écoutant un concert de saxo dans la chapelle qui surplombe les falaises avant d'aller nous boire un grand verre de limonade sur le port de la Ciotat en regardant les bateaux qui dansent mollement à quai.

 

 

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2007 7 09 /09 /septembre /2007 22:15

CANYON DE MONAR

9 septembre 2007

Après la Maglia, Denis et Flower sont restés sur place.

Réveil difficile pour Flower !!!

 

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

Ils sont rejoints le matin par Christine, DD et ses 2 copains.

  

  

  

.

.

.

.

.

.

 

DIAPORAMA

PHOTOS

L'EQUIPE 

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2007 6 08 /09 /septembre /2007 21:30

CANYON DE LA MAGLIA

8 septembre 2007

Sortie inter-club ACV - BAT Club.

 

.

.

.

 

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

DIAPORAMA

PHOTOS

 L'EQUIPE 

Partager cet article
Repost0
23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 10:21

Clue du Riolan

23 Aout 2007

Partis pour faire la descente du canyon du RIOU qui arrive dans MOUSTIER, nous nous retrouvons à la clue du RIOLAN. L'absence de pluie a totalement tari le RIOU. La cascade terminale est telle les chaussettes de l'archi-duchesse seche et archiseche. Après un petit tour dans les ruelles de Moustier, J'arrive à joindre Didier et Jean-louis qui sortent de la Maglia. Cathy et moi leur donnons rendez-vous le lendemain matin à la sortie de la Clue du Riolan que nous espérons tous en eau.

A l'heure dite, nous abandonnons un "vesicule" sur le parking aval et, quelques minutes plus tard, notre petite équipe s'équipe au départ de la clue.

Il y a peu de debit. Il manque par endroit jusqu'à un metre de profondeur. Les passages sous les blocs au départ en sont plus acrobatiques.  

Après une courte pause pour nous restaurer, nous rattrapons un groupe et trouvons un poisson mort au fond d'une vasque asséchée. Plus on descend et plus c'est sec.

 

Tant de secheresse nous a donné soif et nous faisons une halte à la buvette près de la clue de Saint Auban avant de rentrer dans nos penattes.

Participants : Marcel, Cathy, Didier, Jean-louis

Partager cet article
Repost0

Le bureau

 

Président :

PAUL Marcel    
    

 

Secrétaire :

PASCOUET Jean-Claude

 

Trésorier :


REIGNIER Romain

 

 

Vice Présidente :

PASCOUET Patricia

 

Secrétaire adjoint :

 

MOURAU Fabrice

      

 

Trésorière adjointe :

 

FOURNIOL Manon

 

Pour nous contacter :

contact@avenclub83.fr

Programme

Articles RÉCents